le journal du poete mais pas que

...Je regarde devant, à côté, j’avance. Et puis, qu’ai-je vécu de si dramatique à côté de ceux qui vivent de véritables tragédies humaines, des personnes qui dorment dans la rue ou fuient la guerre ? Que valent mes histoires comparées à un quotidien de...

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« Ces deux là sont trop maigres pour êtres malhonnêtes » Il est là mon oncle, le seul témoin privilégié de ma jeunesse qu’il me reste. Il est là mon oncle, il est là comme seul frère alors qu’ils sont encore huit en vie et que le plus jeune n'est plus....

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Nous avons profité jusqu’à tard dans la nuit des dernières festivités de la fête de la Saint Jean à Porto et après quelque heures de sommeil peuplées encore de bruits, de bousculades, de moments rêvés ou vécus et du reste de passion que nos forces nous...

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Passer à autre chose Sans pour autant s'enfuir En gardant ton premier sourire Dire adieu à ce qui nous a usé et les bannir de mes souvenirs Passer à autre chose Mon regard est en quête d'horizons D'autres chemins , de nouvelles destinations Pour ne pas...

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Nous partirons à la prochaine vague ! Nous avons fait près de 600 km chacun de notre côté durant ces douze semaines d’entraînement, Il n’en reste que 42,195 à faire, quasiment rien, une broutille... Dimanche 2 avril, marathon de Paris 2023. J’ai assisté...

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Rien n’arrive par hasard, il faut le vouloir, avoir la foi ! C’est un fait il faut se sentir légitime d'accueillir ce qui nous vient. Il faut parfois bannir notre éducation, nos réflexes d'occidentaux du siècle dernier pour y parvenir Chose étrange, moins...

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“la vie n’est pas un jeu c’est un idéal ” Je pensais à ces mots d'Hubert Mounier en écoutant l’artiste brestoise, Sterenn Alix qui était en première partie de la chanteuse acadienne Lisa Leblanc que j’étais venu écouter ce soir…Son chant était clair,...

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Je commence à maîtriser les ruptures ! Puisque une histoire se finit, il serait dommage d’abîmer ce qui a été vécu. Il faut accepter ! Une prolongation ne pourrait être que poussive, parfois intéressée mais sans fougue et il faut que l’amour reste un...

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C’était ainsi j’ouvrais grand les bras, elle se précipitait et je la faisais tournoyer lui arrachant un grand éclat de rire. C’était ainsi, nous occultions les nuages qui obscurcissaient nos vies respectives. Nos vies qui ne nous faisaient plus rêver...

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3 avril : Marathon de Paris Six heures du matin, je descends au rez-de-chaussée de l'hôtel et me dirige vers la salle où est servi le petit déjeuner. Au moment où j'arrive devant la porte, celle-ci s’ouvre accompagnée du sursaut de l’employée surprise...

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